De septembre à novembre, Guillaume Aubry a travaillé sur une édition météorologique consacrée au coucher de soleil "Phénoménologie du dégradé", réalisée en risographie.
L'artiste joue sur le trouble d'échelle créé par des photographies prises à l'intérieur de verres à cocktails dont le nom débute par sunset. Ces images qui sèment le trouble - regarde t-on une photo au microscope ou bien une image infiniment grande de l'univers ? - évoquent les représentations de planètes que l'on retrouve dans les livres d'astronomie.
"Je suis architecte de formation, je suis aussi artiste, et actuellement artiste-chercheur puisque je suis en dernière année de thèse de création dans le cadre de laquelle je travaille sur l'expérience esthétique des couchers de soleil" Guillaume Aubry