"DJ Fatale est née en 2022 pendant des soirées aux Beaux-Arts. J’en avais marre des cismecs DJs qui passaient que de la techno de gros nazes. J’ai donc créé DJ Fatale avec mes petits moyens. Ne sachant ni mixer ni composer de la musique, je mixe sur Virtual DJ et je ne passe que des sons pops comme des remixs techno de Mylène Farmer, de la pop summer 2007 à de l’hyperpop en passant par des remix de Bébé Lily et d’Ilona Mitrecey. Le tout sans très bonne transition (un peu malgré moi) mais aussi pour garder le côté charmant des DJ·ettes de mariage et de kermesse de mon enfance."

Oscillant entre beats frénétiques et kicks résonnants, DJGARBAGE fait de ses mixes saturés un enchaînement aux courts répits.
Dans ses mix compressant gabber violente et hyperpop exaltée se dessinent les inspirations fantasy sous couvert de bpm ultra rapides où s'immisce une dimension mystique.

Avant d'obtenir son Master en Arts en danse à l'école P.A.R.T.S (BE), Il a étudié la comédie musicale à l'Académie internationale de la danse (AID), ainsi que la danse contemporaine au Conservatoire Nationale De Paris (CNSMDP).  

Depuis 2019, Stanley développe son travail chorégraphique. Il crée le duo 'Sorry Not Sorry' avec Cintia Sebok, son premier solo 'The Mirror Stand' ainsi que le duo 'PARADE' avec Mooni Van Tichel.  Actuellement il prépare une nouvelle pièce, un trio s'intitulant 'Spine Of Desire: Wounds without tears, out of one skin in diamonds and shit' (2025) 

Parallèlement, Stanley fait partie de la Ballroom Scene en tant que membre de l'Iconic House Of Ninja.

Naviguant entre différentes scènes artistiques, son approche en tant que DJ lui permet de revendiquer son héritage métissé, cicatriser nos corps et à repenser aux multiples possibilités d’être ensemble à travers l’écoute. Il ne s’en tient pas à un style musical précis, mais apprend, explore et combine fréquemment. Il espère contribuer à l’émergence d’une diversité innovante et créer de nouveaux outils afin d’apporter plus de joies et de libertés.

De par son héritage et sa sensibilité, elle s’intéresse à la question de l’identité, de la colonisation, et de la mémoire corporelle par le mouvement, qu’elle explore à travers différents médiums : le film, la danse et la musique. En 2020, en collaboration avec le designer Teddy Sanches, elle écrit et réalise le film Envahisseurs, tourné en pellicule, sur la danse hip-hop et la notion de cercle, qu’elle expose au Palais de Tokyo, dans le cadre des Audi talents. 

Passionnée par la musique house et la culture clubbing, elle s’intéresse aux mouvements musicaux post-coloniaux qui mélangent la musique électronique aux musiques traditionnelles et modernes des pays africains dits lusophones. 

En 2022, elle est lauréate de la résidence Trame, à la Cité Internationale des Arts à Paris, où elle effectue un travail de recherche sur les danses de résistance issues de l’esclavage et nées de l’éclatement des cultures des populations déportées dans le Nouveau Monde. 

En 2023, elle réalise un court-métrage de danse, In Between, à la Villa Kujoyama, au Japon, qui questionne le corps et les différentes énergies féminines et masculines qui le composent, ainsi que sa relation au vivant, inspiré des visions africaines du monde où l’homme est mêlée au cosmos, à la nature et à la communauté. 

En 2024, elle est invitée, en collaboration avec le designer Teddy Sanches, pour une Carte Blanche au musée Bozar à Bruxelles, dans le cadre de leurs nocturnes et de l’ouverture de leur Festival Afropolitan. Ensemble, Deicy et Teddy Sanches envahissent le musée avec un talk mené par Olivier Marboeuf et Alessandra Seutin, une performance avec 8 danseur.ses, des projections de films, et des Dj sets, dont celui de l’artiste Kem Kem.

Diplômée de l'ECAL en Bachelor Arts Visuels et du Conservatoire de Paris elle mélange instruments acoustiques, comme la clarinette, le violon, le violoncelle à des productions déstructurées et du field recording. 
Water For Aircrafts est son premier projet solo, un EP de quatre morceaux composé par l’artiste et produit en collaboration avec le producteur Roseboy666. Water For Aircrafts, pensé comme un opéra électronique, conte des ballades sentimentales et dramatiques, une odyssée de son intimité aux envolées lyriques.
Artiste plurielle, elle accompagne son travail musical d’une recherche plastique et performative construisant un univers visuel riche, empreint de nostalgie et de sensibilité. 
Elle utilise le corps en mouvement et la voix comme deux matières premières pour aborder des questions de confrontations entre pratiques traditionnelles et pratiques contemporaines du concert/ représentation/spectacle, performativité du musicien, rapport au public/foule/pogo dans ses attentes et réactions ainsi qu’à l’amplification/destruction de l’ego du performeur.