Clara Schulmann
Elle a dirigé différents ouvrages : "Jeux sérieux. Cinéma et art contemporain transforment l’essai", (HEAD/Mamco, Genève, 2015), "Palmanova" (Form(e)s, Paris, 2016), "Laura Mulvey, Au-delà du plaisir visuel. Féminisme, énigmes, cinéphilie" (Mimésis, Paris, 2017). Elle a contribué à plusieurs monographies: "Mike Kelley", Centre Georges Pompidou (2013), "Joachim Koester: Of Spirits and Empty Spaces", SMAK (2014), "Hélène Delprat. Les travaux et les jours" (Dilecta, 2017). Plusieurs articles critiques : « Rien n’est magique », exposition Marie Angeletti, castillo/corrales, Paris, 2014, « A Girl and a Tree. Time Flies like a Banana », in Next Spring, Wellington (2016), « Crooked », exposition Valérie Mréjen, Galerie Anne-Sarah Benichou (2016).
Elle est docteure en études cinématographiques. Sa thèse a été publiée en 2014 (Les Chercheurs d’or. Films d’artistes, Histoires de l’art, Presses du réel). Entre 2012 et 2018, elle a enseigné l’histoire et la théorie de l’art à l’école supérieure des beaux-arts de Bordeaux (Ebabx).
Elle est aujourd’hui en charge d’un séminaire de diplôme aux Beaux-Arts de Paris (Ensba).Ses échanges avec Katinka Bock ont donné lieu à plusieurs points de rencontre : aux Laboratoires d'Aubervilliers en 2015 et dans le cadre de Manifesta (Palerme, 2018). Des textes rendent compte de ces collaborations, notamment: « Squirrels to the nuts », in Zarba Lonsa, Laboratoires d’Aubervilliers (2015).