Mark Leckey
Lauréat du prestigieux Turner Prize en 2008, il explore des thèmes liés à la mémoire, la technologie et l’impact des objets culturels sur nos identités. Parmi ses œuvres phares, Fiorucci Made Me Hardcore (1999) s’impose comme une pièce culte, documentant les subcultures britanniques à travers un collage hypnotique d’images d’archives. Dream English Kid 1964-1999 AD (2015) revisite son histoire personnelle à travers des fragments de médias, et Exorcism of the Bridge@Eastham Rake (2015) interroge le pouvoir mystique des infrastructures modernes.
Son travail a fait l’objet de nombreuses autres expositions monographiques notamment à l’Espace Louis Vuitton, Tokyo (2024) ; Sant’Andrea de Scaphis, Rome (2022) ; Tate Britain, Londres (2019-2020) ; Glasgow International, Glasgow (2018) ; Cubitt, Londres (2017) ; SMK, Copenhague (2017) ; MoMA PS1, New York (2016-2017) ; Galerie Buchholz, Berlin (2016) ; Cabinet, Londres (2015) ; Haus der Kunst, Munich (2015) ; Kunsthalle Basel, Bâle (2015) ; WIELS, Bruxelles (2014) ; Hayward Gallery Touring (The Bluecoat, Liverpool ; Nottingham Contemporary, Nottingham ; De La Warr Pavilion, Bexhill-on-Sea) (2013); The Hammer Museum, Los Angeles (2013) ; The Banff Center, Banff (2012) ; Serpentine Gallery, Londres (2011) ; Gavin Brown’s enterprise, New York (2010) ; Institute of Contemporary Arts, Londres (2009) ; Le Consortium, Dijon (2008) ; Migros Museum für Gegenwartskunst, Zürich (2003).
Ses œuvres font partie de nombreuses collections publiques dont le Centre Pompidou, Paris ; Museum of Contemporary Art, Los Angeles ; Museum of Modern Art, New York ; Tate, Londres ; Walker Art Center, Minneapolis.